Al'appel du collectif de soutien aux jeunes migrants, des associations et des syndicats, 800 personnes manifestaient ce samedi 9 décembre, à Nantes. Par Evelyne Jousset Publié le 09/12/2017 à
Quelque261 migrants ont été évacués par les forces de l'ordre ce matin à Nantes d'un ex-lycée qu'ils occupaient après avoir été expulsés fin
Unecinquantaine de migrants ont été évacués ce mardi dans la matinée d'un presbytère, squatté depuis août 2014 à l'est de Nantes et
Unecinquantaine de migrants ont été évacués ce matin d'un presbytère, squatté depuis août 2014 à l'est de Nantes et propriété de la municipalité, a révélé la préfecture de Loire
Aprèsl'évacuation de leur camp lundi à Nantes, 300 migrants se sont installés dans un ex-lycée et 147 autres ont reçu des solutions d'hébergement.
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Présentation L¿association Accompagnement Migrants Intégration a été créée en juin 2006 par Catherine LIBAULT. C¿est une association loi 1901 à but non lucratif. L¿AMI est née et s¿est construite pour répondre à une demande
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Venance/ AFP En centre-ville de Nantes, plus de 500 migrants dorment toujours sous des tentes, square collectif d’élus du département appelle les communes de Loire-Atlantique à mettre à disposition des locaux. L’été passe, l’hiver arrive. Ces pauvres gens ne peuvent pas rester dans cette situation. » Ce vendredi matin, le maire de Chaumes-en-Retz, Georges Lecleves, a officiellement lancé un appel à ses collègues de tout le département de Loire-Atlantique, au sujet de la question des migrants. L’édile est le président du collectif Territoires 44, une jeune association regroupant une centaine d’élus sans étiquette et qui prône la solidarité territoriale. Car pour lui, sur ce sujet aussi, tout le monde a un devoir de fraternité à exercer ».Alors que plus de 500 migrants dorment toujours dans des tentes, square Daviais en centre-ville de Nantes, la situation est inhumaine », juge le maire. J’appelle tous les élus, des communes urbaines ou rurales, à mettre à disposition des lieux pour accueillir les réfugiés, et à mobiliser leurs équipes de bénévoles », demande ce vendredi Georges maire de Chaumes-en-Retz George Lecleves - J. Urbach/ 20 MinutesUne dizaine de communes engagéesLe collectif assure avoir convaincu la préfecture d’apporter aux villes volontaires un soutien technique et administratif. Il annonce aussi qu' une dizaine de communes, dans le Pays de Retz ou le vignoble, sont déjà prêtes à mettre à disposition des logements, ou à mobiliser leur réseau associatif pour rechercher des locaux vacants ». D’autres pourraient se joindre au mouvement, et notamment celles qui ont déjà accueilli des migrants, l’année dernière, après le démantèlement du camp de Calais. Georges Lecleves assure savoir de quoi il parle, puisque Chaumes-en-Retz reçoit, depuis deux ans et demi, une famille irakienne. Nous avons financé les matériaux et des bénévoles ont remis en état une maison qui appartenait à la commune, raconte le maire. Les enfants vont à l’école, l’aîné travaille… » Mais il sait aussi que cette solution ne peut être apportée à tous les migrants, mais plutôt à ce qui ont déjà obtenu le statut de réfugié, et dont la situation administrative ne nécessite plus de se déplacer régulièrement à libérer des places dans les centres Au final, l’objectif est que ça libère des places en CADA [centres d’accueil des demandeurs d’asile] pour que les personnes du square Daviais y accèdent », justifie Franck Nicolon, conseiller municipal à Clisson et membre de Territoires44. Et que les familles qui quittent ces centres pour une autre commune puissent s’y installer de façon plus camps de migrants du square Daviais à Nantes - J. Urbach/ 20 MinutesL’initiative a été reçue positivement par le collectif de soutien aux migrants, qui sera associé à sa mise en place. Valérie Oppelt, députée LREM de Loire-Atlantique, a elle aussi salué la démarche, alors qu’elle organisait ce vendredi une table ronde sur l’intégration des migrants par le travail.
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Plus de 450 personnes ont été évacuées lundi matin d'un campement de migrants installé depuis plus d'un mois dans un square du cœur de Nantes, qui présentait pour les autorités des risques "élevés" en terme de santé et de salubrité publiques. L'opération a débuté vers 08H15, avec la mise en place d'un dispositif policier tout autour du square Daviais, situé près de la très centrale place du Commerce. Les migrants ont progressivement quitté les lieux dans la matinée, sans précipitation, après avoir reçu un papier leur signifiant leur évacuation, emportant avec eux quelques effets personnels mais laissant tentes et matelas. Au total, 455 personnes ont été évacuées, a indiqué à l'AFP la préfecture de Loire-Atlantique. D'abord composé d'une poignée de tentes dans la première quinzaine du mois de juin, le campement du square Daviais avait grossi de jour en jour, après les évacuations successives de deux bâtiments privés squattés, et au gré d'arrivées depuis l'Italie ou l'Espagne de migrants, essentiellement Soudanais et Érythréens. Face à la situation sanitaire "préoccupante" de ce campement concentré dans un petit jardin public, avec un seul point d'eau et un seul sanitaire, et où la présence de rats et des cas de gale ont été signalés, des associations et la ville de Nantes en avaient appelé à l’État. La mairie ayant refusé il y a une semaine de demander l'évacuation sans accueil des migrants "digne et organisé", la préfecture avait saisi en urgence le tribunal administratif de Nantes. Une expulsion "sans délai" de ce campement, où s'étaient réfugiés dans plus de 280 tentes des mineurs isolés, des femmes isolées avec des bébés et une famille, avait été ordonnée mercredi. En milieu de matinée, le dispositif policier autour du square Daviais avait été considérablement allégé. Des militants associatifs s'employaient à replier les tentes et à regrouper matelas et duvets. Des sacs avec des affaires et du linge séchant sur des panneaux en bois ont été abandonnés sur place. Les occupants du square ont été invités à se rendre dans une salle de la ville abritant un guichet unique d'accueil temporaire pour y faire examiner leur situation par les services de l’État. - "Faux espoir" - La préfecture a promis la mise à l'abri des "personnes les plus vulnérables" et celle des demandeurs d'asile "dans la limite des places disponibles", le dispositif d'accueil "étant actuellement saturé en région Pays de la Loire", et particulièrement à Nantes où les demandes d'asile ont augmenté de 28% en un an, là où d'autres grandes villes ont enregistré des baisses. Evacuation d'un camp de migrants installé depuis plus d'un mois dans le centre-ville de Nantes, le 23 juillet 2018 AFP - Sébastien SALOM GOMIS La préfecture avait annoncé le semaine dernière avoir trouvé "90 à 100 places" d'hébergement d'urgence dans toute la région. Dans un communiqué lundi, la préfecture indique avoir mobilisé des places "sur l'ensemble du territoire national". Ils ont été "priés de se rendre au guichet unique en leur donnant un bout de papier, qui est un faux espoir parce qu'ils ne sont pas sortis de cette galère", a estimé François Prochasson, membre d'un collectif de soutien aux migrants. "Pour l'instant, la préfecture a promis une centaine de places, ce qui veut dire qu'il y aura au moins 300 personnes qui vont dormir à la rue ce soir, sans tente. Ils vont s'installer ailleurs, dans un autre jardin public et on n'aura rien résolu. ... C'est retour à la case départ", a-t-il déploré. "Je n'ai rien, donc je ne peux rien faire. Je suis juste quelqu'un sans espoir, faible. Donc je fais ce qu'ils veulent que je fasse et s'ils veulent que je dorme à la rue, je dormirai à la rue", a témoigné en anglais un Soudanais lors de son évacuation du square Daviais. Après examen des situations individuelles des migrants, "ceux qui ne peuvent prétendre ni à l'asile, ni au séjour, ou dont la demande d'asile relève d'un autre État membre de l'Union européenne, seront invités à quitter le territoire", souligne la préfecture dans son communiqué.
Google map Par AFP, publié le 8 novembre 2015 à 16h02. Un squat occupé à Nantes par une cinquantaine de migrants africains a été la cible d'un jet de cocktail molotov dans la nuit de samedi à dimanche, provoquant un début d'incendie, mais sans faire de blessé, a-t-on appris auprès de leur comité de soutien. Vers minuit, alors que les occupants s'apprêtaient à s'endormir, un engin incendiaire a été lancé par un inconnu par une fenêtre de la maison du quartier Chantenay, qu'ils occupent depuis près près d'un an. Un feu s'est déclaré, que quatre d'entre eux ont réussi à éteindre avec de l'eau et des couvertures, selon le Collectif de soutien aux expulsés de la rue des Stocks. Sur place, des traces de suie étaient visibles dimanche à une fenêtre extérieure et à l'intérieur de la pièce atteinte par l'engin incendiaire, où régnait une forte odeur de brûlé, selon le quotidien Ouest-France, qui a révélé l'affaire."Celui qui a fait ça, il a voulu nous tuer", a témoigné un des occupants cité par le quotidien. Le Collectif a dénoncé ce dimanche une "agression criminelle et xénophobe, qui s'inscrit dans une suite d'actes de plus en plus violents à l'encontre des migrants inscriptions racistes, poses de cadenas sur les portes d'un squat et dégradations diverses à l'encontre des associations qui soutiennent les migrants". Dénonçant "la politique laxiste du gouvernement et des autorités locales, qui laissent toute liberté d'agir lâchement à des groupes xénophobes et racistes", le Collectif a demandé l'ouverture rapide de "centres d'accueil inconditionnel et de qualité" pour les personnes "sans abri, sans papiers, sans possibilité de travail".Outre la maison visée par le cocktail molotov, occupée par des migrants venus essentiellement du Soudan, d'Erythrée et de Somalie, un autre squat regroupe à Nantes plusieurs dizaines de migrants dans un presbytère du quartier Doulon depuis l'été 2014.
collectif de soutien aux migrants nantes