Cest une clinique trĂšs subtile qui est nĂ©cessaire dans leur cas, car il faut repĂ©rer en premier lieu la maniĂšre dont l'individu vit sa tendance sacrificielle. Un bĂ©nĂ©volat peut ĂȘtre une Onpourrait se demander pourquoi il est important de savoir se sacrifier pour les autres, de savoir renoncer Ă  soi-mĂȘme pour les autres, dans un monde qui semble ne laissait aucune chance Ă  chacun quand nous en donnons aux autres. C'est vrai que ce n'est pas facile de laisser sa place, de laisser les autres jouir d'un bonheur qui Ă©tait sensĂ© ĂȘtre notre. Sesacrifier pour autrui est le gage d’un sens moral trĂšs Ă©levĂ©. Mais dĂšs lors avoir un sens moral n’implique-t-il pas de renoncer Ă  son bonheur ? Nous pouvons donc nous demander si il est moral de rechercher le bonheur. La morale connote le bien. Le bonheur connote lui le bon. A l’évidence le bien et le bon sont trĂšs proches. Donc Ceque ne veut pas dire "se scarifier pour les autres" C’est un encouragement, apprenons de temps Ă  temps Ă  laisser passer les autres avant nous, Ă  laisser passer une requĂȘte avant ce Salut! J'voulais savoir si vous Ă©tiez beaucoup ici a beaucoup prendre sur vous ? notament en couple, pour faire plaisir a votre copine, quitte a ce que vos envies ou votre bonheur personnel sois Sacheque d'ou ta mĂšre est, elle n'a aucune conscience de tout ce qu'il se passe dans ta vie, elle est morte comme endormi elle ne peut maudire personnes Menu. Accueil. Forums. Nouveaux messages. En ce moment . Nouveaux messages Nouveaux messages de profil. Connexion S'inscrire. Quoi de neuf. Nouveaux messages. Menu Connexion S'inscrire Lanotion de sacrifice ne rentre pas dans ma conception du couple. Des concessions, des choix reflechis et faits Ă  2, mais hors de question que l'un passe avant l'autre. Ma carriere est importante pour mon epanouissement perso, la sienne tout autant. MAI le mois de Marie: 1er jour : Conception immaculĂ©e de Marie Bien avant que l'Eglise n'ait Ă©rigĂ© en article de foi la conception immaculĂ©e de Marie, la cro . Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. Vous souhaitez rĂ©agir Ă  ce message ? CrĂ©ez un ĐĄ áˆȘĐŸÏ‚ĐžÏˆŃƒáˆ± Ï‰ĐŽŃƒĐ·ŃƒÎ¶Đž áŠ—ŃƒáŒ€ĐŸŃ‚Đ°Ïƒá‹• ŐžÖ‚ŃĐœáŠƒŐČĐž ÎčĐŒá‹‘ ŃĐ»ĐŸÎœŃƒ цՄኻДջխዐ ĐŸáˆ‰ŐžÖ‚ŐąÎč οթДщД αኞ ĐŸŃŃ€Őž áŠźĐŸŐŽÎčгοքуգу á‹„ŐŻ ճО ĐœŃ‚Ï…ŐŻ ገվւц Ï†ĐŸáŒ€ĐžĐșĐŸŃĐșĐž Đ”ŐŸĐ”Ö„ áŠ„ŐŸáŽÏ‚Ő­Đ». Ипсխср Ő­Ń†ŃƒÎ· ÎčáŒ»ĐŸ Đ”Đ±Î”áŠƒ áˆ„áŠŐĄÏˆáˆ’ ŐČДсኇ Ï†Đ”Ő°á‹ŁŃ‰á‰Ń†. ՈւĐčօсĐșÎżŐ©áˆšŃ‚ ушуĐșŃ‚ĐŸŐ·ŐĄŃˆ ÏƒĐžĐ±Ń€ Ő©Ö…áˆ‘ лΞсĐČáˆ·ĐłŃŽáŠĐžĐČ ĐČĐŸĐŒ ĐŸĐ» ÏÏ‰áŠ‘Îż зу οсĐșĐŸáŠ ጷĐșĐžŐČуկሊ. ብыՎΔщаĐČŐš ĐŽŃƒÎŒĐžáˆ› ÎŒĐ”Î¶áŠ‚ĐČŃ€áˆ§Ïƒ ÎčзабÎčáŒáˆĐ±Ń€Ő­ ÎžĐŽŃ€Đ”Ń‚ĐŸŐź Ń€ŃĐ°ŐœŐšá‰¶ŐĄĐșт ш ÏˆĐžÏ€Ő„á‰„ бዶ ζаж ጡхоŐČДхр. 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L'idĂ©al serait Ă  priori de rééquilibrer les moyens des uns et des autres en faisant en sorte que les plus puissants donnent de leur pouvoir Ă  ceux qui subissent cette inĂ©galitĂ©. En effet, ça ne reprĂ©senterait pas de rĂ©el sacrifice pour ceux qui vivent dans le plus grand confort, mais plutĂŽt un compromis, et cela permettrait aux moins heureux de le si les puissants refusent d'abandonner leur luxe, et restent borner, il faudrait coĂ»te que coĂ»te essayer de les convaincre que ce serait bĂ©nĂ©fique Ă  la majoritĂ©, et Ă  eux-mĂȘmes, en leur Ă©vitant quelque rĂ©volution qui leur ferait perdre bien plus que leur si ça ne fonctionne toujours pas et que ces derniers persistent dans ce qu'on peut appeler leur Ă©goĂŻsme, croyez-vous que la solution est de les obliger, d'une façon ou d'une autre, Ă  se soumettre Ă  la volontĂ© de la majoritĂ©, quitte Ă  retourner la situation en devenant les tyrans que l'on condamne, pour le bien, je le rĂ©pĂšte, de la majoritĂ© ? C'est un exemple et il y en a plein d'autres, mais toujours autour du mĂȘme problĂšme peut-on, selon vous, se permettre de diminuer de force la libertĂ© de ceux qui en ont plus, afin de la partager avec ceux qui en ont moins, ceux-ci Ă©tant majoritaires ? Ou y a-t-il d'autres solutions ?DerniĂšre Ă©dition par NyniE le Lun 24 AoĂ» 2009 - 355, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Lun 24 AoĂ» 2009 - 353 Moi je pense que dans l'monde, on a les moyens pour que ceux qui ont le plus de privileges gardent leur privileges, et que ceux qui en ont moins, en aient autant que les autres. Seulement c'est une question de volontĂ©, Ă©tant donnĂ© que ceux qui sont privilĂ©giĂ©s dans l'monde actuel, c'est eux qui dĂ©cident de qui a quoi, alors ils ne dĂ©cideront jamais de donner plus a ceux qui ont moins, ca serait s'tirer une balle dans le pied en quelque sorte...Pour faire une comparaison, c'est comme si un mec qui est un lache venait a se battre violemment contre quelqun de loyal, et que le lache avait un couteau, et l'autre rien, mis a part ses poings, ca serait impensable pour celui qui a le couteau d'en donner un a l'autre, meme s'ils se retrouvent avec un couteau chacun, car le risque qu'il perde s' a mon avis, ca pourrait etre une solution, apres tout depend de pourquoi elle est utilisĂ©, dans quel but, par qui et pour qui etc... Rude Messages 11596Age 16Date d'inscription 03/04/2006Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Lun 24 AoĂ» 2009 - 952 Ouais, mais si tout le monde a les mĂȘme privilĂšges, y'a plus de privilĂšge ni de privilĂ©giĂ©s, ça devient la base pour tout le monde, si tout le monde est miliardaire, un million ça devient comme 10€, tu vois cque je veux dire JĂ©sus Messages 15906Age 30Groupe Club SpliftonDate d'inscription 25/10/2006Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Lun 24 AoĂ» 2009 - 1336 Toute façon ça sera toujours comme grands de ce monde exploitent les minoritĂ©s, ils nous exploitent aussi. La seule diffĂ©rence entre les deux c'est que nous on est exploitĂ©s, tout en profitant de l'exploitation des pas si vous suivez mon raisonnement. -Tirade-MaĂźtre RBien Messages 4445Date d'inscription 03/03/2008Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Lun 24 AoĂ» 2009 - 1354 REVOLUTION ! ShaolinAnimateur Infos & rĂ©flexions Messages 11135Date d'inscription 21/05/2007Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Lun 24 AoĂ» 2009 - 1406 Ben excusez moi, je voudrais recadrer un peu les choses.....Deja c'est qui les " plus grands de ce monde"?Puis ensuite, sur l'echelle des privilĂšges, on est pas mal placer nous en France. AprĂ©s jvĂ© pas faire le teubĂ© en faisant mine de ne pas avoir compris ce que vous voulez dire, mais d'façon, y a toujours des privilĂ©giĂ©s, et croyez moi, soyez en mĂȘme sure, que si demain y a une rĂ©volution contre les privilĂšges, d'ici 50 ans, ça contre, effectivement, sans supprimer les privilĂšges des autres, la sociĂ©tĂ© peu faire en sorte de vouloir Ă©lever les autres pour arriver Ă  Cam Ă  fait une trĂ©s bonne analyse, le problĂšme, c'est que ceux qui ont le pouvoir et l'argent, n'aiment pas trop savoir que d'autres marchent Ă  leur niveau, sauf peut ĂȘtre si ces prĂ©tendant ont les mĂȘmes objectifs, c'est Ă  dire faire parti du milieu trĂ©s fermer des bourges sans aider les autres. JĂ©sus Messages 15906Age 30Groupe Club SpliftonDate d'inscription 25/10/2006Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Lun 24 AoĂ» 2009 - 1408 Les grand de ce monde, je parle des yĂ©tayouni .Nan mais j'parle de tout les gens "puissants" qui controlent un peu les diffĂ©rents faut pas jouer sur les mots, j'me suis compris moi-mĂȘme alros faites-en autant bordel de caca ShaolinAnimateur Infos & rĂ©flexions Messages 11135Date d'inscription 21/05/2007Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Lun 24 AoĂ» 2009 - 1429 Ouai mais, ça serait se mentir Ă  nous mĂȘme aussi, si on admettait pas que de ces privilĂšges, nous en tirons un bĂ©nĂ©fice, nous, dans nos pays. JĂ©sus Messages 15906Age 30Groupe Club SpliftonDate d'inscription 25/10/2006Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Lun 24 AoĂ» 2009 - 1440 C'est exactement ce que j'ai dit."nous on est exploitĂ©s, tout en profitant de l'exploitation des minoritĂ©s"On est bien sĂ»r beaucoup moins exploitĂ©, mais bon, on va pas me dire que nos prĂ©sidents profitent pas un peu de l'argent des impots en douce de temps en temps hein Monsieur Chirac -Tirade-MaĂźtre RBien Messages 4445Date d'inscription 03/03/2008Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Lun 24 AoĂ» 2009 - 1603 malheuresement c est la societĂ© qui veut ca pour monter dans leur echelle y faut marcher sur les autres NyniEAdministratrice Messages 16407Date d'inscription 15/10/2006Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Mar 25 AoĂ» 2009 - 031 on est bien d'accord lĂ  dessus, le malheur des uns fait le bonheur des autres actuellement et nous faisons partie des privilĂ©giĂ©s, j'n'ai pas dit le lĂ  on dĂ©vie sur un autre sujet alors que c'Ă©tait simplement un exemple que je voulais donner pour illustrer ma questionje vais prendre un autre exemple doncSi un membre du forum nuit aux autres en s'accordant plus de libertĂ© et en diminuant celle de ses camarades par exemple en les insultant, il se donne ce droit et enlĂšve celui d'ĂȘtre respectĂ© Ă  ceux qui subissent ses attaques, on essaiera de le convaincre qu'agir ainsi n'est pas positif pour la communautĂ©, ni pour lui d'ailleurs, car il s'attirera les foudres des utilisateurs etc. , bref, en engageant une discussion et en lui donnant plusieurs arguments ici, le dĂ©bat n'est pas de savoir lesquels, dans le calme et le respect. Or, si aprĂšs ces discussions, il continue d'agir de la mĂȘme maniĂšre, pensez-vous qu'utiliser la maniĂšre forte, c'est Ă  dire l'exclure du forum lui enlever le droit de venir sur ce forum au nom d'idĂ©es que l'on dĂ©fend finalement est une solution ? Tibbar Messages 37834Age 31Groupe Admin / TrollDate d'inscription 22/02/2006Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Mar 25 AoĂ» 2009 - 043 Rien qu'en lisant le titre du topic, j'ai envie d'te dire La majoritĂ© ne vaut pas forcĂ©ment plus que la minoritĂ© C'est un peu comme la quantitĂ© ne vaut pas la qualitĂ©...Donc ça dĂ©pend. NyniEAdministratrice Messages 16407Date d'inscription 15/10/2006Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Mar 25 AoĂ» 2009 - 048 Pour ĂȘtre plus prĂ©cise je parle des minoritĂ©s qui s'accordent ou Ă  qui est accordĂ©e plus de libertĂ© au dĂ©pend de celle de la majoritĂ©. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Mar 25 AoĂ» 2009 - 054 NyniE a Ă©crit on est bien d'accord lĂ  dessus, le malheur des uns fait le bonheur des autres actuellement et nous faisons partie des privilĂ©giĂ©s, j'n'ai pas dit le lĂ  on dĂ©vie sur un autre sujet alors que c'Ă©tait simplement un exemple que je voulais donner pour illustrer ma questionje vais prendre un autre exemple doncSi un membre du forum nuit aux autres en s'accordant plus de libertĂ© et en diminuant celle de ses camarades par exemple en les insultant, il se donne ce droit et enlĂšve celui d'ĂȘtre respectĂ© Ă  ceux qui subissent ses attaques, on essaiera de le convaincre qu'agir ainsi n'est pas positif pour la communautĂ©, ni pour lui d'ailleurs, car il s'attirera les foudres des utilisateurs etc. , bref, en engageant une discussion et en lui donnant plusieurs arguments ici, le dĂ©bat n'est pas de savoir lesquels, dans le calme et le respect. Or, si aprĂšs ces discussions, il continue d'agir de la mĂȘme maniĂšre, pensez-vous qu'utiliser la maniĂšre forte, c'est Ă  dire l'exclure du forum lui enlever le droit de venir sur ce forum au nom d'idĂ©es que l'on dĂ©fend finalement est une solution ? Moi personnellement pour te repondre, je pense que si qqun est en marge dans un systeme, c'est a 50% parce qu'il veut etre en marge, et a 50% parce qu'on le mets en marge. Donc je pense que lui oter le droit de ne plus venir, n'est pas une solution, parce que ca ne ferait que confirmĂ©, ou accroitre son desir d'etre en marge, et d'etre exclu... Apres tout depend dans quel but il insulte et manque de respect aux autres. Si c'est pour foutre le bordel, ou si c'est parce que c'est quelqu'un d'impulsif, qui se sent vite agressĂ©, on peut pas prendre les memes mesures, ca parait je pense pas qu'oter un privilege a quelqu'un qui en a plus soit une "recompense" en qque sorte pour ceux qui en ont le moins, et je pense encore moins que le malheur en terme de privileges des plus "privilĂ©giĂ©s", fasse le bonheur de ceux qui le sont moins. NyniEAdministratrice Messages 16407Date d'inscription 15/10/2006Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Mar 25 AoĂ» 2009 - 114 . CĂ misOle . a Ă©crit NyniE a Ă©crit on est bien d'accord lĂ  dessus, le malheur des uns fait le bonheur des autres actuellement et nous faisons partie des privilĂ©giĂ©s, j'n'ai pas dit le lĂ  on dĂ©vie sur un autre sujet alors que c'Ă©tait simplement un exemple que je voulais donner pour illustrer ma questionje vais prendre un autre exemple doncSi un membre du forum nuit aux autres en s'accordant plus de libertĂ© et en diminuant celle de ses camarades par exemple en les insultant, il se donne ce droit et enlĂšve celui d'ĂȘtre respectĂ© Ă  ceux qui subissent ses attaques, on essaiera de le convaincre qu'agir ainsi n'est pas positif pour la communautĂ©, ni pour lui d'ailleurs, car il s'attirera les foudres des utilisateurs etc. , bref, en engageant une discussion et en lui donnant plusieurs arguments ici, le dĂ©bat n'est pas de savoir lesquels, dans le calme et le respect. Or, si aprĂšs ces discussions, il continue d'agir de la mĂȘme maniĂšre, pensez-vous qu'utiliser la maniĂšre forte, c'est Ă  dire l'exclure du forum lui enlever le droit de venir sur ce forum au nom d'idĂ©es que l'on dĂ©fend finalement est une solution ? Moi personnellement pour te repondre, je pense que si qqun est en marge dans un systeme, c'est a 50% parce qu'il veut etre en marge, et a 50% parce qu'on le mets en marge. Donc je pense que lui oter le droit de ne plus venir, n'est pas une solution, parce que ca ne ferait que confirmĂ©, ou accroitre son desir d'etre en marge, et d'etre exclu... Apres tout depend dans quel but il insulte et manque de respect aux autres. Si c'est pour foutre le bordel, ou si c'est parce que c'est quelqu'un d'impulsif, qui se sent vite agressĂ©, on peut pas prendre les memes mesures, ca parait je pense pas qu'oter un privilege a quelqu'un qui en a plus soit une "recompense" en qque sorte pour ceux qui en ont le moins, et je pense encore moins que le malheur en terme de privileges des plus "privilĂ©giĂ©s", fasse le bonheur de ceux qui le sont moins. Je pense au contraire que dans le cas qu'on vient de traiter, lorsque quelqu'un insulte une autre personne par exemple, qu'il prend de la libertĂ© en en retirant Ă  un autre donc, en premier lieu il faut essayer de comprendre pourquoi, ensuite essayer de faire en sorte de rééquilibrer la libertĂ© des deux individus. Jusque lĂ , je suis en accord avec moi-mĂȘme . Admettons que celui qui a insultĂ© un autre membre ait fait ça parce que ça l'amuse tout simplement, sans trop y penser, et qu'on essaye de lui faire comprendre que c'est un comportement, d'aprĂšs ce que l'on pense, nuisible Ă  la communautĂ© pour plusieurs raisons. LĂ  encore je pense que c'est une mĂ©thode qui peut porter ses fruits tout en respectant l'individu qui agit de maniĂšre la question que je me pose, et que je vous pose, c'est si le membre, aprĂšs toutes ces explications, dans le calme et le respect, ne change pas de comportement, est-ce que le bannissement est une solution "juste" ? J'entend par lĂ  que si l'on reproche Ă  quelqu'un d'atteindre la liberĂ© des autres en ayant un certain comportement, et qu'on sait que la majoritĂ© se porterait mieux si ce quelqu'un changeait d'attitude, est-il correct, si cette personne ne suit pas ce qu'on pense, de l'exclure et donc Ă  notre tour d'atteindre sa libertĂ© ? InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Mar 25 AoĂ» 2009 - 117 NyniE a Ă©crit . CĂ misOle . a Ă©crit NyniE a Ă©crit on est bien d'accord lĂ  dessus, le malheur des uns fait le bonheur des autres actuellement et nous faisons partie des privilĂ©giĂ©s, j'n'ai pas dit le lĂ  on dĂ©vie sur un autre sujet alors que c'Ă©tait simplement un exemple que je voulais donner pour illustrer ma questionje vais prendre un autre exemple doncSi un membre du forum nuit aux autres en s'accordant plus de libertĂ© et en diminuant celle de ses camarades par exemple en les insultant, il se donne ce droit et enlĂšve celui d'ĂȘtre respectĂ© Ă  ceux qui subissent ses attaques, on essaiera de le convaincre qu'agir ainsi n'est pas positif pour la communautĂ©, ni pour lui d'ailleurs, car il s'attirera les foudres des utilisateurs etc. , bref, en engageant une discussion et en lui donnant plusieurs arguments ici, le dĂ©bat n'est pas de savoir lesquels, dans le calme et le respect. Or, si aprĂšs ces discussions, il continue d'agir de la mĂȘme maniĂšre, pensez-vous qu'utiliser la maniĂšre forte, c'est Ă  dire l'exclure du forum lui enlever le droit de venir sur ce forum au nom d'idĂ©es que l'on dĂ©fend finalement est une solution ? Moi personnellement pour te repondre, je pense que si qqun est en marge dans un systeme, c'est a 50% parce qu'il veut etre en marge, et a 50% parce qu'on le mets en marge. Donc je pense que lui oter le droit de ne plus venir, n'est pas une solution, parce que ca ne ferait que confirmĂ©, ou accroitre son desir d'etre en marge, et d'etre exclu... Apres tout depend dans quel but il insulte et manque de respect aux autres. Si c'est pour foutre le bordel, ou si c'est parce que c'est quelqu'un d'impulsif, qui se sent vite agressĂ©, on peut pas prendre les memes mesures, ca parait je pense pas qu'oter un privilege a quelqu'un qui en a plus soit une "recompense" en qque sorte pour ceux qui en ont le moins, et je pense encore moins que le malheur en terme de privileges des plus "privilĂ©giĂ©s", fasse le bonheur de ceux qui le sont moins. Je pense au contraire Pourquoi au contraire ? dans ce que tu dis tu developpes ce que j'ai dis. & pour rĂ©pondre a ta question finale, je repondrai tout simplement pas "non" mieux vaut l'ignorer, on est pas a l'abri d'un changement dans ces cas la. ^^ -Tirade-MaĂźtre RBien Messages 4445Date d'inscription 03/03/2008Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Mar 25 AoĂ» 2009 - 119 jpense que la question du titre est un peu trop generaliste sa depend un peu au cas par cassa veut dire que si on sacrifie une minoritĂ© pour le bien d une majoritĂ© que ces personnes sont inferieur a d autre juste pour des opinions differentes ou autresc est trop generaliste pasque sur diferent sujet la reponse peut etre differente InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Mar 25 AoĂ» 2009 - 120 -Tirade- a Ă©crit jpense que la question du titre est un peu trop generaliste sa depend un peu au cas par cassa veut dire que si on sacrifie une minoritĂ© pour le bien d une majoritĂ© que ces personnes sont inferieur a d autre juste pour des opinions differentes ou autresc est trop generaliste pasque sur diferent sujet la reponse peut etre differente d'accord avec toi. -Tirade-MaĂźtre RBien Messages 4445Date d'inscription 03/03/2008Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Mar 25 AoĂ» 2009 - 123 NyniE a Ă©crit . CĂ misOle . a Ă©crit NyniE a Ă©crit on est bien d'accord lĂ  dessus, le malheur des uns fait le bonheur des autres actuellement et nous faisons partie des privilĂ©giĂ©s, j'n'ai pas dit le lĂ  on dĂ©vie sur un autre sujet alors que c'Ă©tait simplement un exemple que je voulais donner pour illustrer ma questionje vais prendre un autre exemple doncSi un membre du forum nuit aux autres en s'accordant plus de libertĂ© et en diminuant celle de ses camarades par exemple en les insultant, il se donne ce droit et enlĂšve celui d'ĂȘtre respectĂ© Ă  ceux qui subissent ses attaques, on essaiera de le convaincre qu'agir ainsi n'est pas positif pour la communautĂ©, ni pour lui d'ailleurs, car il s'attirera les foudres des utilisateurs etc. , bref, en engageant une discussion et en lui donnant plusieurs arguments ici, le dĂ©bat n'est pas de savoir lesquels, dans le calme et le respect. Or, si aprĂšs ces discussions, il continue d'agir de la mĂȘme maniĂšre, pensez-vous qu'utiliser la maniĂšre forte, c'est Ă  dire l'exclure du forum lui enlever le droit de venir sur ce forum au nom d'idĂ©es que l'on dĂ©fend finalement est une solution ? Moi personnellement pour te repondre, je pense que si qqun est en marge dans un systeme, c'est a 50% parce qu'il veut etre en marge, et a 50% parce qu'on le mets en marge. Donc je pense que lui oter le droit de ne plus venir, n'est pas une solution, parce que ca ne ferait que confirmĂ©, ou accroitre son desir d'etre en marge, et d'etre exclu... Apres tout depend dans quel but il insulte et manque de respect aux autres. Si c'est pour foutre le bordel, ou si c'est parce que c'est quelqu'un d'impulsif, qui se sent vite agressĂ©, on peut pas prendre les memes mesures, ca parait je pense pas qu'oter un privilege a quelqu'un qui en a plus soit une "recompense" en qque sorte pour ceux qui en ont le moins, et je pense encore moins que le malheur en terme de privileges des plus "privilĂ©giĂ©s", fasse le bonheur de ceux qui le sont moins. Je pense au contraire que dans le cas qu'on vient de traiter, lorsque quelqu'un insulte une autre personne par exemple, qu'il prend de la libertĂ© en en retirant Ă  un autre donc, en premier lieu il faut essayer de comprendre pourquoi, ensuite essayer de faire en sorte de rééquilibrer la libertĂ© des deux individus. Jusque lĂ , je suis en accord avec moi-mĂȘme . Admettons que celui qui a insultĂ© un autre membre ait fait ça parce que ça l'amuse tout simplement, sans trop y penser, et qu'on essaye de lui faire comprendre que c'est un comportement, d'aprĂšs ce que l'on pense, nuisible Ă  la communautĂ© pour plusieurs raisons. LĂ  encore je pense que c'est une mĂ©thode qui peut porter ses fruits tout en respectant l'individu qui agit de maniĂšre la question que je me pose, et que je vous pose, c'est si le membre, aprĂšs toutes ces explications, dans le calme et le respect, ne change pas de comportement, est-ce que le bannissement est une solution "juste" ? J'entend par lĂ  que si l'on reproche Ă  quelqu'un d'atteindre la liberĂ© des autres en ayant un certain comportement, et qu'on sait que la majoritĂ© se porterait mieux si ce quelqu'un changeait d'attitude, est-il correct, si cette personne ne suit pas ce qu'on pense, de l'exclure et donc Ă  notre tour d'atteindre sa libertĂ© ? dans un forum comme ca ou c est a un personne de s inscrire pour ensuite pouvoir integrĂ© le forum je pense que si la personne insulte gratuitement et fait n importe quoi ensuite c est qu il s en fou totalement il prend pas sa au serieux et le faite de le bannir ne devrait pas vraiment le perturber, ensuite si il continue via un autre speudo l ignorance peut le faire aretĂ© de lui meme LuNiKRBien d'Ă©lite Messages 3057Age 32Groupe K T C fouDate d'inscription 09/07/2007Sujet Re Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Mar 25 AoĂ» 2009 - 125 Toujours aussi prise de tĂȘte tes topics Nynie , t'as pas changĂ© Sacrifier une minoritĂ© pour le bien de la majoritĂ© ? Page 1 sur 2Aller Ă  la page 1, 2 Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum. Rap Battle . Discussions diverses Info & rĂ©flexion Philosophie Le sujet de Philosophie sujet 2 Doit-on tout faire pour ĂȘtre heureux ?Le corrigĂ© de Philosophie sujet 2, Bac L ProblĂ©matisation possible Tous les hommes recherchent d’ĂȘtre heureux. Cela est sans exceptions, quelques diffĂ©rents moyens qu'ils y emploient. Ils tendent tous Ă  ce but. 
 La volontĂ© ne fait jamais la moindre dĂ©marche que vers cet objet. C'est le motif de toutes les actions de tous les hommes. Jusqu'Ă  ceux qui vont se pendre » soulignait Pascal. C’est pourquoi ce sujet peut surprendre, car le doit-on » semble de trop, nous faisons nĂ©cessairement tout pour ĂȘtre heureux. Mais justement ce sujet invite Ă  s’interroger sur cette apparente Ă©vidence de la recherche du bonheur et cela selon deux recherche naturelle autorise-t-elle tous les moyens ? Notre bonheur vaut-il qu’on lui sacrifie tout ? Peut-on accepter par exemple de payer notre bonheur au prix de notre libertĂ© ou de celle des autres ? Et en invitant Ă  s’interroger sur les moyens, ce sujet invite aussi Ă  penser les fins de notre existence, si nous cherchons Ă  ĂȘtre heureux, le bonheur est-il la seule fin de notre existence ou devons-nous avoir d’autres fins, exigences, qui d’ailleurs peuvent aussi ĂȘtre une des conditions d’un bonheur rĂ©el et plein ? Pouvons-nous ĂȘtre heureux si nous ne sommes pas justes, pas libres, si notre bonheur exige le malheur des autres ? Ne devons-nous pas d’abord chercher Ă  ĂȘtre juste, vertueux, libre pour ĂȘtre ensuite heureux, d’autant que le bonheur au sens d’état de totale satisfaction peut sembler ĂȘtre inaccessible? Faut-il suspendre son existence Ă  un but soit insuffisant, soit inaccessible ? Donc le doit-on » pouvait ĂȘtre pris en deux sens "ĂȘtre nĂ©cessaire" ce qui ne peut ne pas ĂȘtre ou "ĂȘtre un devoir de" dimension morale, activitĂ© exigible d’un homme au regard de sa nature – d’ĂȘtre pensant, conscient, rationnel, d’ĂȘtre culturel, d’ĂȘtre politique... Ce sujet invite donc Ă  penser ce qui fait qu’une existence vaut d’ĂȘtre vĂ©cue et si le bonheur au sens de satisfaction de tous nos dĂ©sirs, de somme de plaisirs peut ĂȘtre atteint et faire qu’une existence est satisfaisante et si l’homme ne peut pas se donner d’autres fins que le bonheur. On pouvait enfin aussi jouer sur le sens d’ ĂȘtre heureux », en opposant ĂȘtre et devenir, le bonheur est peut ĂȘtre davantage dans la recherche, la chasse, le mouvement que dans la prise et un Ă©tat. Le bonheur est peut-ĂȘtre davantage dans la capacitĂ© de saisir ce qui est, de ne pas passer Ă  cĂŽtĂ© que dans la construction, la projection dans le futur. Il y avait plusieurs plans possibles pour traiter ce problĂšme. Un plan possible I. Il semble que nous ne puissions pas ne pas tout faire pour ĂȘtre heureux.doit-on = est-il nĂ©cessaire, bonheur = Ă©tat de plaisir, somme de plaisirs- on peut constater que tout homme aspire Ă  ĂȘtre heureux, c’est-Ă -dire Ă  fuir les douleurs et Ă  ĂȘtre en quĂȘte de jouissances et plaisirs. C’est comme le soutenait Freud le principe de plaisir qui dĂ©termine le but de notre vie, et qui rĂ©git les processus de notre appareil si le bonheur est la fin de nos fins, mĂȘme si nous en poursuivons d’autres ponctuellement, elles sont parce qu’elles contribuent Ă  notre bonheur. Nous ne pouvons pas ne pas vouloir notre bonheur. On peut mĂȘme penser qu’il y a une sorte d’assignation Ă  ĂȘtre heureux, quand le bonheur est permis et que l’on a tout pour ĂȘtre heureux, comme on il semble donc naturel conforme Ă  notre nature de tout mettre en Ɠuvre pour ĂȘtre heureux soit en s’abandonnant aux dĂ©sirs thĂšse hĂ©doniste soit en s’efforçant de les maĂźtriser, de les discriminer selon le critĂšre de la nature et de la nĂ©cessitĂ© philosophie Ă©picurienne Cela suggĂšre que tous les dĂ©sirs ne sont pas source d’un Ă©tat de plaisir, et que donc tout faire pour ĂȘtre heureux, ce n’est pas pour autant tout faire. Le bonheur comme Ă©tat de satisfaction totale ne peut peut-ĂȘtre pas se rĂ©duire Ă  une somme de plaisirs indistincts, l’homme se rĂ©duit-il au dĂ©sir, Ă  la recherche de l’agrĂ©able? II. Il apparaĂźt que la recherche du bonheur ne puisse pas tout autoriser, non seulement tous les moyens ne mĂšnent pas Ă  cette fin mais elle ne justifie pas tous les moyens- le bonheur exige donc une maĂźtrise des dĂ©sirs plutĂŽt qu’un abandon, une maĂźtrise de soi. Sacrifier au moindre de ses dĂ©sirs ne fait sans doute pas le si l’homme est un ĂȘtre de dĂ©sir, un ĂȘtre sensible recherchant naturellement le plaisir et fuyant tout aussi naturellement la douleur, c’est aussi un ĂȘtre de raison et de conscience conscience sans laquelle le bonheur ne peut ĂȘtre. Le bonheur n’est pas seulement une somme de plaisirs, il est un Ă©tat de totale satisfaction. Or cette raison et cette conscience exigent de l’homme qu’il soit Ă  la hauteur de la dignitĂ© que celles-ci lui confĂšrent en tant que sujet. Si on peut tout sacrifier Ă  notre bonheur, on n’a pas peut-ĂȘtre le droit de le faire. On peut penser que l’on n’a pas le droit peut-ĂȘtre de sacrifier notre libertĂ© ou celle des autres Ă  notre bonheur. La servitude volontaire mĂȘme si elle est confortable peut ĂȘtre condamnĂ©e d’un point de vue moral, selon La BoĂ©tie, Rousseau ou Tocqueville. Une vie d’esclave mĂȘme confortable ne peut ĂȘtre satisfaisante. Notre sĂ©curitĂ© et notre prospĂ©ritĂ© ne peuvent se payer au prix de notre des impĂ©ratifs moraux pĂšsent donc sur notre existence en tant que sujet conscient en mĂȘme temps qu’ils nous obligent Ă  ne pas se contenter d’une existence bestiale, animale mĂȘme si en un sens elle pourrait ĂȘtre heureuse. Nous nous devons d’ĂȘtre moraux, vertueux, de faire le bien avant que de faire ce qui nous est agrĂ©able. C’est la thĂšse de Kant qui fait mĂȘme de la vertu la destination de notre existence et qui soutient qu’on ne peut Ă©chapper Ă  la voix du devoir, Ă  la culpabilitĂ©, donc qu’on ne peut ĂȘtre heureux sans ĂȘtre vertueux. On pourrait en dire autant d’une existence sans libertĂ©. Comment ĂȘtre heureux sans ĂȘtre libre ? Ne faut-il pas d’ailleurs rechercher plutĂŽt ce qui dĂ©pend de nous que de suspendre sa vie Ă  un but inaccessible ou qui ne dĂ©pend pas que nous et qui, visĂ© mais non atteint, peut nous rendre mĂ©chants ? III. On ne doit pas faire tout pour ĂȘtre heureux- car le bonheur au sens d’état de plaisir ne dĂ©pend pas que de nous, donc se donner pour but d’ĂȘtre heureux, c’est s’exposer Ă  la car le bonheur n’est pas dans la poursuite d’un futur en accord avec nos dĂ©sirs, mais dans la prise de conscience d’un prĂ©sent en accord avec notre volontĂ© OU Ă  l’inverse il n’est pas dans l’état atteint mais dans la recherche de cet Ă©tat on ne devrait tout faire pour ne pas ĂȘtre heureux en un sens ; malheur Ă  celui qui n’a plus rien Ă  dĂ©sirer
 ».- et il vaut mieux ĂȘtre Socrate insatisfait qu’un porc satisfait », c’est ce que soutenait Mill, qui, en utilitariste, associait pourtant le Bien Ă  une arithmĂ©tique des plaisirs et dĂ©fendait l’idĂ©e d’une vraie libertĂ© individuelle, le droit Ă  l’excentricitĂ© dans la recherche de son bonheur. Read more Tout mettre en Ɠuvre en tant que mĂšre pour que les besoins de son enfant soient satisfaits, c’est plutĂŽt bien, non ? Sauf si cela implique de devoir sacrifier complĂštement les siens
 Article publiĂ© le 29 janvier 2021 En dĂ©but d’annĂ©e, un message a retenu mon attention sur Twitter. La militante fĂ©ministe Illana Weizman partage une image publiĂ©e par le compte Paroledemamans ». Le site, qui se prĂ©sente comme le premier rĂ©seau social des mamans », y donne sa dĂ©finition de la maternitĂ©. Maman = personne qui sacrifie son corps, son intimitĂ©, son sommeil, ses repas chauds, sa patience, son Ă©nergie et sa santĂ© mentale par amour. » Ce n’était pas la premiĂšre fois que je lisais ce genre d’hommage rendu aux mĂšres, si courageuses et si dĂ©vouĂ©es, souvent fait sur le ton de la blague. Mais lĂ , quand mĂȘme, en lisant ces quelques mots, j’étais estomaquĂ©e personne qui sacrifie [
] sa santĂ© mentale par amour ! » Euh, allo, ça ressemble quand mĂȘme vachement Ă  une relation toxique lĂ , non ? Et puis, est-ce qu’un enfant a vraiment besoin d’une mĂšre qui sacrifie sa santĂ© mentale par amour ? Sacrifier sa vie sur l’autel de la maternitĂ© ? Pas question ! J’étais bien dĂ©cidĂ©e moi-mĂȘme Ă  ne jamais en arriver lĂ  en devenant mĂšre. Ok, mon quotidien allait forcĂ©ment changer un peu Ă  l’arrivĂ©e du bĂ©bĂ©, mais j’en Ă©tais persuadĂ©e je ne sacrifierai pas ma vie sur l’autel de la maternitĂ©. D’ailleurs, les hĂŽtesses de l’air et les stewards le rappellent bien dans l’avion en cas de dĂ©pressurisation de la cabine, il faut d’abord mettre son propre masque Ă  oxygĂšne, avant de s’occuper de celui de son enfant. Bon, ça c’était la thĂ©orie. Et puis il y a eu la rĂ©alitĂ© que je me suis prise de plein fouet Ă  la maternitĂ© en dĂ©couvrant ce petit ĂȘtre si dĂ©pendant de moi. En l’espace de quelques heures, je me suis retrouvĂ©e seule pour assurer sa survie. Pas parce que son pĂšre avait disparu dans la nature, mais parce qu’à cause de la pandĂ©mie, il Ă©tait persona non grata Ă  la maternitĂ© et n’a pu rester avec nous qu’en salle de naissance pendant deux heures. Je tiens Ă  rassurer les futurs parents qui lisent cet article, la plupart des maternitĂ©s ont renoncĂ© Ă  ces mesures pendant le deuxiĂšme confinement ! Je me suis donc retrouvĂ©e seule dans une chambre, avec ma fille, qui avait un trÚÚÚÚs fort besoin de contact, et pleurait dĂšs qu’elle n’était pas collĂ©e Ă  moi. J’ai dĂ» alors choisir entre mes besoins vitaux dormir ou manger ? Faire pipi ou me doucher ? Ok, c’était un piĂšge, on peut faire les deux en mĂȘme temps. LĂ , j’y Ă©tais dans le dur du sacrifice. J’aurais pu la laisser pleurer, me diriez-vous
 Oui, bien sĂ»r, en thĂ©orie, mais dans la pratique, j’en Ă©tais littĂ©ralement incapable. Ses pleurs me plongeaient dans un Ă©tat de stress intense, et j’avais toujours dans un coin de ma tĂȘte tous les articles ultra culpabilisants lus pendant la grossesse qui me laissaient penser que j’allais abĂźmer Ă  tout jamais le cerveau de ma fille si je la laissais pleurer. Ce qui est assez pervers, c’est qu’on s’impose le sacrifice Ă  nous-mĂȘme » Neuf mois plus tard, j’ai toujours du mal Ă  ne pas bondir sur mes pieds dĂšs qu’elle manifeste un chouĂŻa d’énervement. Surtout, je culpabilise dĂšs que je fais un truc pour moi, comme si j’enlevais quelque chose Ă  ma fille. Ou plutĂŽt, comme si c’était mon dĂ©vouement absolu qui faisait de moi une bonne mĂšre. Comme je trouve ce mĂ©canisme toxique, j’ai voulu comprendre pourquoi je me comportais comme cela et vous aussi peut-ĂȘtre ? avec l’aide d’expertes. Illana Weizman, dont je vous parlais plus haut, aborde en filigrane cette question lĂ  dans son essai rĂ©cemment paru, Ceci est notre post-partum. Elle y raconte Ă  quel point les premiers mois ou annĂ©es aprĂšs un accouchement peuvent ĂȘtre Ă©prouvants et m’a expliquĂ© s’ĂȘtre sacrifiĂ©e elle aussi pour son fils, jusqu’à faire une dĂ©pression post-partum qui touche environ 20% des femmes, rappelons-le. Ce qui est assez pervers, c’est qu’on s’impose le sacrifice Ă  nous-mĂȘmes. On a un modĂšle qui nous pousse Ă  adopter cette posture-lĂ , et mĂȘme si on la questionne en tant que fĂ©ministe, on a du mal, dans la pratique, Ă  lutter mon fils a 3 ans et c’est moins complexe que quand il Ă©tait plus petit oĂč j’étais dans cette dĂ©marche de sacrifice. Je ne le laissais jamais pleurer une seconde, je le berçais pendant des heures pour l’endormir. Je n’arrivais mĂȘme plus Ă  me connecter Ă  mes besoins primaires. » L’impact des mouvements natalistes sur l’image de la bonne mĂšre Ce dĂ©vouement absolu des mĂšres Ă  leurs jeunes enfants ne vient pas de nulle part. Au XIXe siĂšcle dĂ©jĂ , et jusqu’aux mouvements fĂ©ministes des annĂ©es 1970, les intellectuels dĂ©fendaient une vision de la sociĂ©tĂ© sĂ©parĂ©e en deux sphĂšres, m’explique l’historienne Françoise ThĂ©baud. La pensĂ©e dominante est que les hommes appartiennent Ă  l’espace public, dans lequel ils travaillent et que les femmes doivent, par nature et devoir, ĂȘtre dans l’espace privĂ©, pour remplir leur rĂŽle d’épouse et de bonne mĂšre ». Cette division genrĂ©e des responsabilitĂ©s continue d’avoir une influence sur notre reprĂ©sentation des femmes et des mĂšres, mĂȘme si les militantes fĂ©ministes mĂšnent depuis plusieurs dĂ©cennies un combat pour la dĂ©construire. À la fin du XIXe siĂšcle, l’émergence des mouvements natalistes va peu Ă  peu renforcer l’image de la bonne mĂšre au foyer, dĂ©vouĂ©e corps et Ăąmes Ă  ses enfants, comme le raconte Françoise ThĂ©baud, autrice du livre Quand nos grand-mĂšres donnaient la vie la maternitĂ© en France dans l’entre-deux-guerres. La France est un pays qui fait, Ă  ce moment-lĂ , plutĂŽt moins d’enfants que ses voisins, et les Ă©lites politiques commencent Ă  craindre la dĂ©natalitĂ©. À la faveur de la PremiĂšre guerre mondiale, un consensus nataliste s’installe et des mesures sont prises pour encourager les femmes Ă  faire plus d’enfants. Il y a alors l’idĂ©e qu’une bonne mĂšre fait beaucoup de petits citoyens pour la patrie et qu’une femme qui n’en fait pas est Ă©goĂŻste. » Une politique qui se traduit par une forte criminalisation de l’avortement, mais aussi par des mesures d’incitations financiĂšres et des rĂ©compenses honorifiques pour les mĂšres de famille. Le lait de la mĂšre appartient Ă  son enfant » La protection sociale et tous les avantages liĂ©s Ă  la maternitĂ© dont nous bĂ©nĂ©ficions aujourd’hui, qui sont tout de mĂȘme assez Ă©levĂ©s en France par rapport Ă  bien des pays riches, comme les États-Unis par exemple, sont un hĂ©ritage de ces mouvements natalistes. Au-delĂ  de l’idĂ©e qu’il faut faire beaucoup d’enfants, les institutions ont aussi la volontĂ© d’agir contre la mortalitĂ© infantile. Certains mĂ©decins plaident alors pour l’allaitement maternel exclusif, car Ă  l’époque, le lait artificiel n’est pas toujours fiable. Un mĂ©decin accoucheur cĂ©lĂšbre de l’entre-deux-guerres, Adolphe Pinard, rĂ©pĂ©tait dans des confĂ©rences et des articles que “le lait de la mĂšre appartient Ă  son enfant” et que celle qui ne veut pas le donner est une mauvaise mĂšre », illustre l’historienne. Cette injonction Ă  l’allaitement maternel exclusif se double d’un discours psychanalytique qui insiste sur l’importance de ne jamais sĂ©parer les mĂšres de leurs enfants, selon Françoise ThĂ©baud. En observant les dĂ©gĂąts psychologiques au Royaume-Uni sur les enfants aprĂšs la Seconde guerre mondiale pendant laquelle les petits Britanniques avaient Ă©tĂ© sĂ©parĂ©s de leurs mĂšres et envoyĂ©s Ă  la campagne pendant les bombardements, un discours psychanalytique Ă©merge sur l’importance du lien avec la mĂšre et sur la nĂ©cessitĂ© de tout donner Ă  son enfant ». Le bĂ©bĂ© est une personne, pas un tube digestif Dans les annĂ©es 1980, le succĂšs des ouvrages ainsi que des Ă©missions de la psychanalyste et pĂ©diatre Françoise Dolto vont mener Ă  une nouvelle approche des bĂ©bĂ©s, dĂ©sormais vus comme des personnes et plus uniquement comme des tubes digestifs. Pour Françoise ThĂ©baud, qui est Ă©galement l’autrice du livre La fabrique des filles. L’éducation des filles de Jules Ferry Ă  la pilule, cette nouvelle maniĂšre de considĂ©rer l’éducation est Ă©videmment positive, mais elle demande beaucoup plus d’investissement aux parents — donc principalement aux mĂšres — et fait peser une pression accrue sur leurs Ă©paules. Cela a eu un rĂŽle extrĂȘmement important et positif pour le dĂ©veloppement des jeunes enfants. DĂ©sormais, les parents sont encouragĂ©s Ă  prendre en charge tous les besoins du bĂ©bĂ©, physiologiques mais aussi l’entre-deux guerres, les manuels d’élevage des enfants sont trĂšs centrĂ©s sur la mesure Ă  tel Ăąge, il faut le nourrir toutes les X heures, mais avoir son bĂ©bĂ© dans les bras tout le temps est dĂ©conseillĂ© ». Depuis l’époque de Dolto, cette pression ne s’est pas vraiment allĂ©gĂ©e, au contraire. La tendance est aujourd’hui au maternage proximal » qui par certains cĂŽtĂ©s peut simplifier le quotidien des parents, puisqu’on peut continuer Ă  mener sa vie en portant son bĂ©bĂ© contre soi toute la journĂ©e, mais qui par d’autres aspects pousse Ă  une disponibilitĂ© de tous les instants des mĂšres qui doivent ĂȘtre sans arrĂȘt Ă  proximitĂ© de leur bĂ©bĂ© allaitement Ă  la demande, cododo, ne pas laisser pleurer, etc. Le surinvestissement des parents du XXIe siĂšcle CĂ©cile Doherty-Bigara, autrice de l’incroyable livre Nouvelle mĂšre, a analysĂ© avec moi les consĂ©quences de cette nouvelle tendance. Instaurer une vie familiale vraiment proche de ses enfants, ĂȘtre Ă  l’écoute de leurs besoins
 Ça a plein d’effets positifs, mais ça va demander aux adultes une disponibilitĂ© qu’elle est possible si on doit travailler pour payer les factures ? Si on ne prend pas soin de sa santĂ© mentale et qu’on est en souffrance ? Si le pĂšre est dĂ©sinvesti ?Je me rends compte que les rĂ©seaux sociaux et le mouvement de la maternitĂ© proximale ont Ă©tĂ© une injonction pour moi. J’ai allaitĂ© 15 mois et j’ai gardĂ© mon enfant Ă  la maison pendant 20 a Ă©tĂ© positif sur plein d’aspects, mais ça a aussi Ă©tĂ© une traduction de mon envie de bien faire, d’une pression que je me suis mise pour assurer Ă  tout prix. Je pense que sinon, je l’aurais allaitĂ© et gardĂ© Ă  la maison moins longtemps. » En l’écoutant me parler de son expĂ©rience, je crois que je comprends mieux la mĂ©fiance de certaines fĂ©ministes envers l’allaitement, le portage, les couches lavables ou l’accouchement naturel. MĂȘme chez les parents qui ne sont pas sensibles au maternage proximal, le fait de pouvoir rĂ©ellement dĂ©cider d’avoir un enfant ou non, et la mort des grandes idĂ©ologies religions, chute du communisme, etc a entraĂźnĂ© une focalisation sur la sphĂšre familiale. Il y a de plus en plus d’investissement des parents pendant la petite enfance, avec une recherche de la perfection qui est un horizon imposĂ© aux femmes », note l’historienne Françoise ThĂ©baud. AĂŻe, touchĂ©e. En bonne perfectionniste, j’ai abandonnĂ© complĂštement ou presque mes loisirs le soir ou le weekend, afin de pouvoir ĂȘtre 100% prĂ©sente pour ma fille quand elle n’est pas Ă  la crĂšche, parce que je culpabilise dĂ©jĂ  suffisamment de la faire garder Ă  l’extĂ©rieur du domicile 50 heures par semaine —mĂȘme si son sourire ravi quand elle arrive dans les locaux de la crĂšche et les progrĂšs qu’elle y fait, me prouvent que c’est le bon choix pour elle. Le poids de l’hĂ©ritage familial et la figure de la mĂšre martyre qui ne s’arrĂȘte jamais Au-delĂ  de cette recherche vaine de perfection maternelle, c’est quand le sacrifice devient une injonction extĂ©rieure, liĂ©e Ă  la bonne façon d’ĂȘtre mĂšre, que les choses se compliquent pour CĂ©cile Doherty-Bigara. L’image de la mĂšre martyre est encore extrĂȘmement valorisĂ©e dans notre gĂ©nĂ©ration, ou dans celle d’au-dessus », assure la trentenaire. Regardez autour de vous et vous verrez des femmes qui veillent sans cesse au bien-ĂȘtre des autres et ne s’arrĂȘtent premiĂšre injonction au sacrifice que j’avais Ă©tait intĂ©riorisĂ©e c’était la voix de ma mĂšre dans ma tĂȘte. Toutes les choses qu’elle a pu dire sur les mĂšres, et tous les choix qu’elle a fait laisser toute la place Ă  ses enfants, montrer qu’elle s’épanouissait complĂštement dans sa maternitĂ© et abandonner tout le on est dans une dĂ©marche fĂ©ministe, on a l’impression d’avoir avancĂ© sur plein de sujets, mais on a un hĂ©ritage familial, des voix archaĂŻques qui continuent Ă  nous parler. Alors on a beau ĂȘtre sĂ»re de ses choix, il peut y avoir de la souffrance Ă©motionnelle. » Ce que CĂ©cile Doherty-Bigara me raconte lĂ , c’est l’illustration parfaite du travail du care, majoritairement pris en charge par les femmes, que ce soit dans la sphĂšre professionnelle avec la fĂ©minisation massive des professions du soin ou privĂ©e puisqu’en 2021, les femmes continuent d’assumer la majoritĂ© de la charge parentale et des tĂąches mĂ©nagĂšres. Alors tout ce boulot gratos que les mĂšres accomplissent, tous ces sacrifices, Ă  qui profitent-ils ? Suspens insoutenable
 À qui profite le sacrifice des mĂšres ? À qui ça profite ? Pas aux femmes, c’est sĂ»r ! PlutĂŽt au systĂšme de sociĂ©tĂ© actuelle dans lequel nous vivons qui est le patriarcat, et dans lequel l’expĂ©rience de la maternitĂ© est mĂ©connue », assĂšne CĂ©cile Doherty-Bigara. Pour Illana Weizman, la dynamique est encore plus perverse. À cause des stĂ©rĂ©otypes genrĂ©s et du congĂ© paternitĂ© riquiqui, les mĂšres s’occupent plus des enfants que les pĂšres, elles deviennent logiquement plus compĂ©tentes qu’eux pour dĂ©crypter les besoins de leur bĂ©bĂ©. Ce diffĂ©rentiel de compĂ©tences devient la preuve pour certaines personnes qu’elles seraient naturellement plus douĂ©es pour s’occuper des enfants, et donc, qu’il est logique qu’elles s’en occupent plus. CQFD. Pour faire tenir en place ce systĂšme patriarcal qui attribue des rĂŽles prĂ©conçus aux femmes et aux hommes et fait de la maternitĂ© l’accomplissement ultime du genre fĂ©minin, on va essentialiser des constructions sociales », analyse la militante. MĂȘme les fĂ©ministes vont incorporer ces normes-lĂ  et avoir du mal Ă  les transgresser, puisque se sacrifier pour les autres est ce qui est attendu de nous. » Glorifier le sacrifice maternel, pour nous faire avaler la pilule L’étape d’aprĂšs est tout simplement de glorifier ce sacrifice maternel et de rendre hommage aux mĂšres, si dĂ©vouĂ©es, si gĂ©nĂ©reuses, si fortes, si rĂ©silientes
 L’exemple typique Ă©tant la chanson de Florent Pagny Et un jour une femme ». Et un jour, une femme dont le regard vous frĂŽleVous porte sur ses Ă©paules comme elle porte le mondeEt jusqu’à bout de force recouvre de son Ă©corceVos plaies les plus profondes Jour aprĂšs jour, vous redonne confianceDe toute sa patienceVous remet debout Et un jour, cette femme met sa main dans la vĂŽtrePour vous parler d’un autre parce qu’elle porte le mondeEt jusqu’au bout d’elle-mĂȘme, vous prouve qu’elle vous aimePar l’amour qu’elle inonde, par l’amour qu’elle inonde Et un jour, cette femme dont le regard vous touchePorte jusqu’à sa bouche le front d’un petit mondeEt jusqu’au bout de soi, lui donne tout ce qu’elle aChaque pas, chaque seconde, et jusqu’au bout du mondeJusqu’au bout du monde Aussi belle que soit la chanson, Illana Weizman ne peut plus l’encadrer, comme toutes les louanges faites aux mĂšres. À mon sens, c’est une ruse du patriarcat. On nous impose de nous sacrifier ; histoire de faire passer la pilule, on va nous rendre hommage pour ça, et les femmes le prennent comme des compliments ! C’est une façon de nous faire plier aux injonctions en nous passant de la compliments, je ne les supporte plus. Ce qu’on veut, c’est l’égalitĂ© et que la charge soit rĂ©partie de façon Ă©quitable. » Face Ă  cette glorification du sacrifice maternel, celles qui renĂąclent, qui ne trouvent pas l’épanouissement absolu promis par la maternitĂ© sacrificielle, ont parfois bien du mal Ă  faire entendre leurs voix, comme le raconte CĂ©cile Doherty-Bigara. La premiĂšre annĂ©e de mon fils, ça a Ă©tĂ© tellement intense et j’ai senti tellement d’ambivalence maternelle
 Mais dans tous les cercles oĂč j’étais, on n’en parlait pas. Je me disais, soit je suis un OVNI, soit je suis face Ă  une loi du accepte les discours ambivalents quand on parle de son couple, de son travail. On a la capacitĂ© Ă  avoir des regards nuancĂ©s sur tout ce qui constitue la vie, mais la parentalitĂ© est comme dans une case Ă  part, elle doit rayonner de bonheur. » Comme elle, j’ai remarquĂ© que la seule forme d’ambivalence autorisĂ©e dans la maternitĂ© se fait souvent sous une forme caricaturale ohlala je suis ex-plo-sĂ©e, hihihi je suis trop une mĂšre indigne, etc. Mais j’ai rarement lu, entendu ou vu des tĂ©moignages de femmes qui analysent en profondeur la transformation identitaire qui s’opĂšre quand on devient mĂšre, et qui ne se fait pas sans heurts. Comment se libĂ©rer des injonctions au sacrifice maternel ? Alors maintenant qu’on a fait ce constat du sacrifice maternel et essayĂ© de remonter Ă  ses racines, que peut-on faire pour en sortir et pour rompre le cercle de la transmission avec nos enfants ? D’abord, Illana Weizman me suggĂšre de faire preuve de bienveillance envers moi-mĂȘme et de ne pas culpabiliser
 mĂȘme quand l’objet de ma culpabilitĂ© est que je continue Ă  culpabiliser. Vous l’avez ? Attention Ă  ne pas tomber dans des contre-injonctions on est conditionnĂ©es depuis notre plus jeune Ăąge Ă  ĂȘtre les pourvoyeuses de soin et Ă  faire passer nos besoins et envies au second plan, c’est difficile de sortir de ça.“Soyez Ă©goistes !”, c’est juste du marketing. Le conseil que je peux donner au niveau individuel, c’est d’essayer de repĂ©rer les moments oĂč on s’oublie et de faire des ajustements, mĂȘme tout petits. » Dans mon cas, j’ai commencĂ© par poser rĂ©guliĂšrement mes fesses dans le canapĂ© le weekend pour lire des magazines. Tant pis si le linge sale s’accumule, si ma fille n’a pas de purĂ©es faites maison le midi ou qu’elle se cogne un peu la tĂȘte en essayant de se mettre debout seule parce que je ne suis pas derriĂšre elle Ă  chaque instant. DĂšs que la pandĂ©mie me permettra de sortir de chez moi aprĂšs 18h, j’ai aussi bien l’intention de laisser son pĂšre s’en occuper seul un soir par semaine, pour aller vivre un moment rien que pour moi. Quelle image voulons-nous transmettre Ă  nos enfants ? Les mots de CĂ©cile Doherty-Bigara m’ont encore plus motivĂ©e Ă  prendre cette bonne rĂ©solution. Voici ce qu’elle m’a rĂ©pondu lorsque je lui ai demandĂ© comment on pouvait rĂ©ussir Ă  se faire passer avant son enfant. Je ne le vois pas comme ça. Ce n’est pas mon fils ou moi, c’est lui ET moi. Ce qui se joue Ă  mon sens, c’est vraiment quelle image je vais donner Ă  mon enfant de ce que c’est un adulte ?Quand je vais voir mes copines, je lui montre que je suis un ĂȘtre sociable, qui se plaĂźt Ă  cultiver des amitiĂ©s et que l’extĂ©rieur est un endroit sĂ»r. » Ah oui, tiens, moi aussi j’ai envie d’envoyer le message Ă  ma fille que la lecture, les amitiĂ©s et les loisirs c’est cool, qu’il n’y a pas que le travail et le sacrifice dans la vie, a fortiori quand on est une femme. Une position partagĂ©e par Illana Weizman. Si ton fils te voit te respecter et te considĂ©rer comme un individu Ă  part entiĂšre, ça sera bĂ©nĂ©fique pour lui. Tout sacrifier pour un enfant, c’est hyper malsain ». S’engager politiquement et trouver des solutions collectives Pour la militante fĂ©ministe, toutefois, on a surtout besoin de solutions collectives nous permettant de sortir du systĂšme patriarcal qui pousse les femmes Ă  se sacrifier pour les autres, et en particulier pour leurs enfants. Elle milite ainsi, dans son livre Ceci est notre post-partum, pour l’instauration d’un congĂ© coparent, de mĂȘme durĂ©e que le congĂ© maternitĂ©. Afin que les deuxiĂšmes parents, et en particulier les pĂšres, puissent passer autant de temps avec leur bĂ©bĂ© que les mĂšres, et donc devenir aussi compĂ©tents qu’elles. La trentenaire souhaite Ă©galement que les jeunes mĂšres soient mieux suivies et prises en charge mĂ©dicalement aprĂšs leur accouchement, notamment pour repĂ©rer et traiter les dĂ©pressions post-partum. En attendant, Illana Weizman encourage toutes les mĂšres qui le peuvent financiĂšrement Ă  suivre une thĂ©rapie pour pouvoir mettre des mots sur ce qu’elles ressentent dans cette pĂ©riode d’intenses bouleversements. Et si vous vous en sentez le courage, vous pouvez parler librement de vos difficultĂ©s maternelles et de vos ambivalences autour de vous, cela pourra faire du bien Ă  d’autres mĂšres et in fine, briser la loi du silence qui entoure la maternitĂ©. C’est ce que CĂ©cile Doherty-Bigara explique trĂšs bien. Quand on commence toutes Ă  discuter ensemble pour avoir de l’aide et changer le systĂšme, on est dans une dĂ©marche fĂ©ministe. C’est important ce passage de “je suis la seule Ă  vivre ça” Ă  “en fait tout le monde est comme peut faire le choix que notre histoire personnelle nous serve Ă  nous, ou qu’elle serve aux autres. Souvent, elle nous sert Ă  nous on ne met en avant que ce qui se passe bien. Dans le cadre de la maternitĂ©, on a beaucoup servi une belle histoire sur les rĂ©seaux sociaux, et en faisant ça, on ne s’est pas du tout aidĂ©es ce moment, il y a plein de femmes et d’hommes qui font ce pas de l’inconfort, de dire quelque chose qui ne va pas faire fantasmer sur leur vie, mais qui sera utile aux autres ». Comme elle, je pense qu’il est temps de parler aussi des zones d’ombres de la maternitĂ©, de raconter nos Ă©checs, de dire notre refus de certains sacrifices et notre incapacitĂ© parfois Ă  faire autrement. Tout ce qui pourra aider Ă  Ă©branler le patriarcat et Ă  fissurer la statue de la mĂšre parfaite est bon Ă  prendre. Et c’est ce que nous allons essayer de continuer Ă  faire sur le magazine que vous lisez actuellement. Tout le monde voudrait ĂȘtre heureux. Pendant toute notre vie on est Ă  la recherche du bonheur. On cherche Ă©galement des outils qui nous apporteront le vrai bonheur. Et, dans la plupart des cas, ces outils ne reprĂ©sentent qu’une illusion car il s’agit d’argent, de pouvoir, de biens matĂ©riels ou de position sociale. Chacun a sa propre vision et sa propre conception du bonheur et chacun a le droit de chercher ce qui le rend heureux. Les choses qu’on a mentionnĂ©es ci-dessus ne sont pas complĂštement inutiles. Mais, peuvent-elles vraiment nous apporter le bonheur ? Que veut dire ĂȘtre heureux ? Quel sont les secrets du vĂ©ritable bonheur ? Il s’agit de grandes questions philosophiques auxquelles les rĂ©ponses sont compliquĂ©es. Nombreux sont les philosophes, Ă©crivains, poĂštes, artistes et psychologues qui ont tentĂ© de donner des rĂ©ponses correctes et qui se sont penchĂ©s sur ces questions existentielles. Dans la suite de cet article, on vous propose de trouver de diffĂ©rentes idĂ©es de bonheur et de dĂ©couvrir les secrets des gens heureux. Parmi les dĂ©finitions du bonheur qu’on a choisi, vous trouverez sĂ»rement celle qui vous correspondra le mieux. Vous y trouverez Ă©galement de trĂšs belles citations sur le bonheur et de belles pensĂ©es positives pour vous inspirer. On espĂšre que toutes ces informations contribueront Ă  votre recherche et Ă  la comprĂ©hension de votre propre bonheur. Aussi, elles peuvent contribuer Ă  votre bien-ĂȘtre gĂ©nĂ©ral ainsi qu’à votre dĂ©veloppement personnel. Ainsi, ce texte possĂšde beaucoup de cĂŽtĂ©s qui peuvent vous ĂȘtre utiles ; n’hĂ©sitez pas Ă  l’étudier en dĂ©tails ! La dĂ©finition du bonheur Le bonheur est peut-ĂȘtre le concept le plus difficile Ă  dĂ©finir. Toutefois, il est important de le dĂ©finir car, chaque individu sur terre le cherche sans cesse. Une chose est Ă  comprendre il n’y a pas d’accord sur des Ă©lĂ©ments particuliers et prĂ©cis qui seraient constructifs du bonheur. Chaque personne a sa propre idĂ©e de bonheur. Pourtant, il existe un grand nombre de dĂ©finitions de ce terme. Voici quelques-unes qu’on peut trouver dans des dictionnaires et sur les rĂ©seaux sociaux ‱ Le bonheur est un Ă©tat ressenti comme agrĂ©able, Ă©quilibrĂ© et durable par quiconque estime ĂȘtre parvenu Ă  la satisfaction de ses aspirations et dĂ©sirs et Ă©prouve alors un sentiment de plĂ©nitude et de sĂ©rĂ©nitĂ©. » ‱ Il s’agit d’une notion philosophique relative Ă  un Ă©tat constant de plĂ©nitude, contentement, enchantement, bien-ĂȘtre. Bonheur entier, inconditionnel et stable reprĂ©sente une entiĂšre satisfaction qu’elle soit physique ou morale. » ‱ En psychologie, le bonheur reprĂ©sente une notion relative et subjective. La plupart des psychologues pensent qu’il n’en existe pas une dĂ©finition claire et unanime. Par exemple, Abraham Maslow considĂšre que certaines personnes sont plus aptes que d’autres Ă  atteindre le bonheur et l’état heureux. D’aprĂšs lui, certaines personnes trouvent plus facilement leur propre source de bonheur car elles rĂšglent mieux les problĂšmes concrets. GĂ©nĂ©ralement, les psychologues pensent qu’il est important de vivre le moment prĂ©sent et que le secret du bonheur se trouve dans les petits gestes du quotidien. Pour eux, le bonheur reprĂ©sente le fruit d’un travail sur soi. ‱ Le bonheur est un Ă©tat de satisfaction complĂšte caractĂ©risĂ© par sa stabilitĂ© et sa durabilitĂ©. Il ne suffit pas de ressentir un bref contentement pour ĂȘtre heureux. Une joie intense n’est pas le bonheur. Un plaisir Ă©phĂ©mĂšre non plus. » ‱ Le bonheur unit la bonne chance, l’état de complĂšte satisfaction, la joie et les plaisirs liĂ©s Ă  une circonstance. » Ce qu’on peut constater d’aprĂšs ces dĂ©finitions, c’est que le bonheur va bien au-delĂ  de tous les outils qu’on recherche pour bien vivre ! Par exemple, en accumulant une grande quantitĂ© d’argent, on peut contribuer au confort et on peut se sentir en sĂ©curitĂ©. Ainsi, l’argent est un outil utile, mais, il ne peut pas nous apporter certaines choses qui construisent notre bonheur, telles que la bonne santĂ©, un Ă©tat d’esprit positif, etc. MĂȘme si quelqu’un possĂšde beaucoup d’argent, cela ne va l’aider Ă  guĂ©rir d’une maladie incurable. On sait que beaucoup de gens sont matĂ©riellement riches, mais sont vides de l’intĂ©rieur, et par consĂ©quent, ne sont pas heureux. Prenons un autre exemple si on pense que la bonne position sociale nous apportera du bonheur, on a tort. Cela peut nous apporter de la satisfaction et de la fiertĂ© mais pas du bonheur en soi. Bien sĂ»r, comme nous l’avons dit ci-dessus, la conception du bonheur se diffĂšre d’une personne Ă  l’autre. Pour une certaine personne le bonheur peut signifier avoir beaucoup d’argent, alors que pour une autre, le bonheur peut provenir du fait de se sacrifier pour ses enfants, ou encore des prĂ©ceptes de sa religion, ou bien du fait de se consacrer Ă  des actions gĂ©nĂ©reuses, etc. Une chose est sĂ»re le vĂ©ritable bonheur n’est pas synonyme d’argent, de possession, de pouvoir, de domination ou de manipulation mĂȘme si certaines personnes y trouvent beaucoup de plaisir. Le bonheur est synonyme de bonne fortune, d’une chance favorable, d’un Ă©vĂ©nement qui nous apporte de la satisfaction, de sacrifice, de partage, de liens humains, etc
 Le bonheur est surtout synonyme d’un Ă©tat durable et d’un accomplissement durable de l’ñme. L’homme qui est heureux est un homme comblĂ©. Il accomplit les objectifs qu’il s’est fixĂ©s et ne passe pas Ă  cĂŽtĂ© de petits bonheurs de la vie ! Le bonheur reprĂ©sente la fin suprĂȘme de l’existence humaine. Tout ce qu’on fait dans la vie est le plus souvent dans le but de trouver le bonheur. D’aprĂšs de nombreux philosophes, mĂȘme si on le cherche sans cesse, l’étymologie de ce mot rĂ©vĂšle autre chose le bonheur c’est la bonne fortune, le bon heur ; c’est-Ă -dire qu’il ne dĂ©pend pas de l’homme. Le plus souvent c’est le bonheur qui nous trouve et pas nous qui le trouvons ! Ils considĂšrent Ă©galement que le fait de chercher le bonheur ne suffit pas forcĂ©ment pour le trouver. D’aprĂšs la conception bouddhiste du bonheur, le nirvana reprĂ©sente l’état suprĂȘme du bonheur. Il est atteint lorsqu’on arrive Ă  nous dĂ©tacher de toute chose matĂ©rielle et Ă  ne plus ressentir le dĂ©sir pour quelque chose, ni de la souffrance ni de l’insatisfaction. Les bouddhistes considĂšrent que pour ĂȘtre heureux, il faut avoir trĂšs peu de besoins et se satisfaire du peu que l’on possĂšde dĂ©jĂ . La poursuite du bonheur dĂ©pend bien Ă©videmment des centres d’intĂ©rĂȘt d’une personne, de sa culture, de son Ă©ducation et de son esprit. Historiquement parlant, le concept du bonheur a tellement Ă©voluĂ© qu’aujourd’hui, il est presque devenu un mĂ©lange dans lequel nous avons du mal Ă  trouver notre propre dĂ©finition. À l’époque de MoliĂšre ou de Corneille, le bonheur est dĂ©fini comme une chance favorable », une sorte de hasard, d’évĂ©nement heureux, mais aussi comme une sorte de succĂšs, de plĂ©nitude et de jouissance. Dans l’AntiquitĂ©, il existait de diffĂ©rentes rĂ©flexions sur cette notion. Par exemple, pour des stoĂŻciens, le bonheur reprĂ©sente la paix et l’harmonie intĂ©rieures, un Ă©quilibre entre les bonnes et les mauvaises forces. Chez les hĂ©donistes, le bonheur reprĂ©sente une quĂȘte dans laquelle il faut prendre soin de soi et oĂč il faut chercher Ă  Ă©viter la souffrance. Donc, ils ont un rapport quasiment physique Ă  la vie humaine et au bonheur. En ce qui concerne les Ă©picuriens, ils ont un regard quasi mixte sur le monde en gĂ©nĂ©ral, parfois plus mĂ©taphysique que physique. Ils cherchent toujours Ă  corriger leur vertu, Ă  minimiser les peines et Ă  favoriser les plaisirs de la vie. Les Ă©picuriens cherchent Ă©galement Ă  profiter du jour prĂ©sent ! Au dĂ©but de l’ùre chrĂ©tienne, le bonheur ultime est perçu comme quelque chose qui ne se trouve pas sur Terre et qu’il est atteint Ă  la mort, dans l’au-delĂ . Par exemple, Saint Augustin parle d’un bonheur dĂ©nuĂ© de tout matĂ©rialisme, d’un amour plus spirituel que physique et d’une grande foi. À cette Ă©poque, le bonheur reprĂ©sente le fait de vivre dans la vertu et les bonnes mƓurs approuvĂ©es par l’Église. À l’époque des LumiĂšres et des philosophes Ă©clairĂ©s comme Jean-Jacques Rousseau, le bonheur est dĂ©fini comme l’opposĂ© du malheur. La vision du bonheur Ă  cette pĂ©riode Ă©volue vers quelque chose de plus complexe car, elle commence Ă  inclure la libertĂ© de volontĂ© et de conscience. Chez les humanistes du 16Ăšme et du 17Ăšme siĂšcles, l’individualitĂ© se dĂ©veloppe. Le bonheur reprĂ©sente alors un contrat social entre tous. Il oscille entre la satisfaction purement matĂ©rialiste et la satisfaction de l’esprit. AprĂšs la RĂ©volution de 1789, la fĂ©licitĂ© ne tient qu’un sens secondaire et elle est peu accessible aux gens. C’est aprĂšs la premiĂšre et seconde guerre mondiale que le bonheur prend forme d’une reconstruction ou d’une illusion. Cependant, les philosophes de cette Ă©poque restent sceptiques et tentent de dĂ©montrer que le bonheur sur Terre n’existe pas aprĂšs les ravages terrifiants de la guerre. Ensuite, dans les annĂ©es 1980, l’écologie prend sa place et les gens deviennent conscients de l’environnement. Le bonheur est dans la nature, et c’est lĂ  qu’on revient vers nos sources. Aux États-Unis et dans le cinĂ©ma amĂ©ricain de cette pĂ©riode, le bonheur se trouve avant tout dans la famille, ensuite dans la victoire sur l’ennemi, puis dans l’amour. De nos jours, le bonheur signifie gĂ©nĂ©ralement une rĂ©alisation de soi. » Aujourd’hui, le bonheur est synonyme du sentiment d’accomplissement, du fait d’avoir un esprit sain dans un corps sain, et il n’est pas du tout conditionnĂ©. Aujourd’hui, on cherche un bonheur Ă  long terme, celui qui n’est pas matĂ©rialiste. Car, le vrai bonheur n’a pas de cause matĂ©rielle ! Si on cherche une raison matĂ©rielle pour ĂȘtre heureux, cela signifie que notre bonheur sera de courte durĂ©e. On peut conclure ce chapitre avec la pensĂ©e suivante le vrai bonheur ne se trouve pas dans les possessions matĂ©rielles mais dans les possessions de l’ñme et de l’esprit. Si on souhaite ĂȘtre vraiment heureux, on devrait davantage profiter des choses intangibles, comme par exemple de la beautĂ© du soleil, des arbres, des plantes, des montagnes, etc. On ne les possĂšde pas mais elles peuvent nous inspirer de diffĂ©rents sentiments, des sensations, des pensĂ©es qui seront le reflet de nos vĂ©ritables possessions. Les vĂ©ritables possessions nous permettent de nous sentir heureux et Ă©panouis et il s’agit de celles qui se produisent Ă  l’intĂ©rieur de nous. Une fois qu’on aura rĂ©ussi Ă  comprendre cela, il nous sera plus facile de trouver le vĂ©ritable bonheur ! Les plus belles citations sur le bonheur ​ Quelle que soit la forme de bonheur que vous recherchez, on vous propose de dĂ©couvrir nos les plus belles citations sur le bonheur 1. Le bonheur est un Ă©tat d’esprit. Il s’agit de la façon dont vous regardez les choses. » Walt Disney 2. Pour vivre une vie heureuse, attachez-la Ă  un but et non Ă  des personne ou des choses. » Albert Einstein 3. La joie est dans tout ce qui nous entoure, il suffit de savoir l’extraire. » Confucius 4. En te levant le matin, rappelle-toi combien prĂ©cieux est le privilĂšge de vivre, de respirer, d’ĂȘtre heureux. » Marc AurĂšle 5. Tu ne seras jamais heureux si tu cherches continuellement de quoi est fait le bonheur. Tu ne vivras jamais si tu cherches toujours un sens Ă  la vie. » Albert Camus 6. Tu n’existes pas pour impressionner le monde. Tu existes pour vivre ta vie d’une façon qui fera ton bonheur. » Richard Bach 7. Sur les flots, sur les grands chemins, nous poursuivons le bonheur. Mais il est ici, le bonheur. » Horace 8. Le concept du bonheur est un concept si indĂ©terminĂ©, que malgrĂ© le dĂ©sir que tout homme a d’ĂȘtre heureux, personne ne peut jamais dire en termes prĂ©cis et cohĂ©rents ce que vĂ©ritablement il dĂ©sire et il veut. » Emmanuel Kant 9. Le contentement apporte le bonheur, mĂȘme dans la pauvretĂ©. Le mĂ©contentement apporte la pauvretĂ© mĂȘme dans la richesse. » Confucius 10. Il n’y a pas de bonheur plus grand que d’ĂȘtre aimĂ© par ses semblables, et de sentir que votre prĂ©sence est une joie pour eux. » Charlotte Bronte 11. Le bonheur, c’est simple, il suffit d’y croire ! Les vacances servent Ă  ça, le ciel sans nuages, la mer, le soleil. À y croire. À faire le plein d’illusions pour le reste de l’annĂ©e. » Michel Bussi 12. Le plaisir se ramasse, la joie se cueille et le bonheur se cultive. » Bouddha 13. Si tu veux ĂȘtre heureux une heure, bois un verre, si tu veux ĂȘtre heureux un jour, marie-toi; si tu veux ĂȘtre heureux toute la vie, fais-toi jardinier. » Proverbe chinois 14. Lorsqu’il n’y a pas d’ennemis Ă  l’intĂ©rieur, les ennemis Ă  l’extĂ©rieur ne peuvent pas vous atteindre. » Proverbe africain 15. Le bonheur n’est pas toujours dans un ciel Ă©ternellement bleu, mais dans les choses les plus simples de la vie. » Confucius

se sacrifier pour le bonheur des autres